Dans le but d’aider les enfants à décrocher de leurs tablettes ou smartphones, la start-up Dynseo a trouvé une solution ! L’enseigne propose une application innovante qui a été baptisée « Coco ».
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Chaque 15 minutes, l’application propose une « pause sportive » pour que l’enfant, qui doit aussi être sensibilisé à la cybersécurité, détourne pendant quelques instants ses yeux de l’écran et bouge un peu. Le logiciel interactif et amusant offre la possibilité au petit de s’aérer le cerveau. L’appli mobile est destinée à ceux âgés entre 5 à 10 ans qui passent trop de temps sur les tablettes ou smartphones.
Le développeur Dynseo a collaboré avec des experts médicaux
Afin que la « pause sport », qui intervient après chaque 15 minutes d’utilisation de l’application smartphone « Coco », soit accessible à tous, la start-up française s’est associée à des experts médicaux pour concevoir les exercices. On compte parmi eux des neuropsychologues, des orthophonistes ainsi que des ergothérapeutes. Les activités sportives, qui sont au coeur d’une autre appli baptisée Peloton, seront donc accessibles aux enfants en situation de handicap également.
Le contrôle parental sur cette appli
Les parents ont la possibilité de choisir les activités sportives proposées par l’application high-tech pour plus de contrôle. Ceux qui souhaitent mettre ce logiciel innovant dans les mains de leurs petits devront prévoir un abonnement de 4,99 euros mensuellement, 14,99 euros pour trois mois et 39,99 euros pour un an.
Quel est l’objectif de l’application ?
Le but de cette application téléchargeable sur téléphone mobile est d’offrir la possibilité aux plus petits de travailler la mobilité, la force, l’équilibre ainsi que le tonus musculaire et cela tout en se défoulant ! À noter que la start-up innovante, Dynseo, s’est spécialisée dans la conception d’applications mobiles d’entraînement cérébral, particulièrement destinées aux patients souffrant d’Alzheimer. Elle devrait servir d’inspiration à d’autres jeunes entreprises innovantes et startups ainsi qu’à des grands groupes.
Avec l’ETX Studio/AFP